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As for any new initiative, it is wise to analyse the many aspects that the processes of promoting, advocating, experiencing and developing this new theory can involve.

Bibliographie de R.L Vallée

Ancien ingénieur du CEA de Saclay, diplômé de l'école supérieur d'électricité (SUPELEC).

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Ondulatoire et Corpusculaire : 2 manifestations d'un même phénomène

S'appuyant sur la trame électromagnétique d'espace, toutes les formes d'ondes qui répondent à l'équation de Poisson, et notamment les formules de répartition spatiale établies par la mécanique quantique, sont des formes stables d'énergie d'espace.

Ainsi, sans même recourir à d'autres hypothèses, la localisation plus dense d'énergie en certains points de l'espace, du fait d'une fonction stable des ondes électromagnétiques d'espace,

apporte un modèle qui explique la façon dont cohabitent matière et énergie dans cet océan synergétique

.
En d'autres termes, la matière est un piège stable d'énergie d'espace, dont la forme spatio-temporelle répond à l'équation de propagation universelle (Dalembertien nul). Si l'on rajoute à cela que l'énergie, de nature électromagnétique, ne peut qu'être ondulatoire, on comprend alors comment la théorie synergétique réconcilie les théories quantiques et corpusculaires. Par ailleurs, la matière correspond à des modèles ondulatoires qui ne peuvent être précisément localisés à l'échelle microscopique, mais dont la répartition spatio-temporelle explique également le principe d'incertitude d'Heisenberg.

Modèle microscopique synergétique

D'une part, la découverte fondamentale de la synergétique provient du fait que les particules élémentaires ont des similitudes observées avec les cavités résonantes ou guides d'onde de l'électromagnétisme. D'autre part, la théorie introduit l'hypothèse d'un champs électrique limite. Lorsque, du fait des conditions vibratoires du milieu, la valeur du champs électrique tend à dépasser la valeur limite, alors une divergence du champs électrique provoque l'apparition d'une zone disruptive dont la charge équivaut à celle de l'électron - on rappelle que Maxwell a établi la relation entre la charge électrique et la divergence du champs électrique.

L'hypothèse du champs limite et des zones disruptives représente des discontinuités d'espace qui permettent de matérialiser un support à de microscopiques guides d'ondes électromagnétique.

Les zones disruptives, par inversion locale du champs électrique constituent en effet de véritables miroirs microscopiques aux ondes électromagnétique, et représentent alors autant de parois pouvant piéger les ondes d'espace et provoquer l'apparition des particules élémentaires.

La synergétique établit alors différents modèles de matérialisation et montre notamment la différence entre le photon et l'onde électromagnétique. Cette dernière correspond effectivement à une excitation du milieu, typiquement l'onde plane et sphérique, dont la forme spatio-temporelle répond à l'équation de propagation, et qui ne concentre cependant pas d'énergie en un point particulier de l'espace. L'onde électromagnétique correspond donc à la propagation d'une impulsion du milieu énergétique qui ne peut pas être assimilée à de la matière.

Le photon se comporte quand à lui en un guide d'onde électromagnétique qui, piège de l'énergie entre deux zones disruptives. Sa géométrie est stable que si il se propage à la vitesse de la lumière.

Ce n'est pas parce que les deux phénomènes se propagent à la même vitesse et qu'ils présentent des similitudes électromagnétiques, qu'ils sont identiques.

L'électron forme une figure plus complexe, composée de trois zone disruptives, deux de charges négatives et une de charge positive qui piègent une onde électromagnétique tournoyante.

L'expérience de la séparation de pairs met en évidence la structure microscopique de l'électron. La rotation des trois zones disruptives représente un microcircuit qui crée un champs magnétique : le spin de l'électron.

Les neutrons et protons, tous deux extrêmement voisins, représentent une figure nettement plus complexe et éloignée du modèle de l'électron et du photon.

Il s'agit d'ondes électromagnétiques piégées entre plusieurs zones disruptives dont la somme des charges s'annule dans le cas du neutron et qui comporte une zone positive supplémentaire dans le cas du proton.

Au delà, des particules élémentaires, le modèle moléculaire répond à des figures de plus en plus complexes, un peu à l'image de bulles de savon qui s'agglutinent et qui peuvent fusionner ou se séparer en fonction des contraintes extérieures qu'elles subissent.

En tout état de cause, l'image d'Épinal de la molécule, telle qu'on se plait à représenter sous la forme de boules de plastique assemblées par emboîtement n'est vraisemblablement qu'une vue simplificatrice de la réalité microscopique, électromagnétique et énergétique de la matière.

Suite et fin...