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Bibliographie de R.L Vallée

Ancien ingénieur du CEA de Saclay, diplômé de l'école supérieur d'électricité (SUPELEC).

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Bibliographie de R.L Vallée

Ancien ingénieur du CEA de Saclay, diplômé de l'école supérieur d'électricité (SUPELEC).

René-Louis Vallée a eu pour responsabilité de diriger le service du département de mesures électroniques du CEA de Saclay. Il a été l'élève de Louis de Broglie et a conservé une forte intuition quant au rôle joué par l'électromagnétisme dans l'univers. Il remarque déjà en 1956 une première analogie possible entre photon et guide d'onde, puis il publie en 1968 un article dans la revue interne du CEA : "la vitesse de la lumière peut t-elle être dépassée ?".


Remarqué alors par le directeur du centre de Saclay de l'époque, Jean Debiesse, il lui a été demandé d'approfondir une présomption quant à la nature électromagnétique des particules élémentaires. Il en publie en 1970 son ouvrage "L'énergie Electromagnétique Matérielle et Gravitationnelle". Cet ouvrage initialement publié chez Masson a été un succès, auquel rapidement les pouvoirs publics auraient vraisemblablement mis fin.

A partir de ce moment ayant à la fois refusé de se taire et de signer une mutation à la Direction des Applications Militaires assortie d'une habilitation au secret, R.L. Vallée a fait l'objet de diverses brimades au CEA, toutes responsabilités lui ayant été rapidement ôtées. Parallèlement quelques journalistes, dont Renaud de la Taille de "Sciences & Vie" lui ont consacré quelques articles. Suite à l'accident du tore TOKAMAK de Fontenay-aux-Roses, pour lequel il a prédit la possibilité d'une réaction PROTELF ou capture K, le ton s'est fortement durci au point qu'il a été licencié du CEA en 1976 pour "suppression de poste".

On doit ajouter à cela "l'affaire d'Hoker". Erik d'Hoker, à l'époque étudiant à Polytechnique, aurait réalisé et décrit un montage de capture K dans son garage en Belgique (voir article relatant cette expérience). Ce montage réalisé sans l'accord de R.L. Vallée a été d'une part démenti par l'équipe de J.M. Levy-Leblond de la faculté Paris VI, puis par R.L. Vallée qui a assisté ultérieurement à une reproduction de l'expérience dans les laboratoires de l'école Polytechnique. Erik d'Hoker et R.L. Vallée ont été très proches dans la période précédant l'expérience. L'expérience a été réalisée en période de congé et Erik d'Hoker a brutalement rompu tout contact suite à l'annonce de son expérience. S'étant senti floué, R.L. Vallée a clamé une vaste conspiration fomentée par d'Hoker qui a ensuite poursuivi ses études à l'université de Princeton et qui a obtenu depuis une chaire à vie à l'université d'UCLA.

Nous pensons qu'il faut être très prudent quant à toute conclusion hâtive sur cette affaire et que les conditions de réalisation de l'expérience d'Hoker (elles n'ont jamais été précisément connues) n'ont certainement pas été véritablement reproduites tant à Paris VI qu'à l'école Polytechnique. Nous renvoyons donc nos lecteurs à une expérience plus récente et formellement documentée réalisée par Jean-Louis Naudin.

Après son licenciement du CEA, R.L. Vallée est resté un an au chômage, puis a rejoint une filiale de THOMSON CSF comme professeur d'électronique. Il a poursuivi la promotion de ses idées au travers d'une association appelée SEPED qu'il quittera en 1984 et qui s'est éteinte quelques temps après. Il a été contacté en 1985 par des personnes proches du gouvernement américain et a réalisé quelques voyages de promotion outre-atlantique jusqu'en 1991. Retraité, il vit maintenant paisiblement dans son domicile de la région parisienne.

La finalité de ce site est de maintenir un niveau d'information suffisant afin que les idées de R.L. Vallée ne tombent pas dans l'oubli. N'en déplaisent à la physique officielle, qui maintient que la Synergétique n'apporte non seulement rien mais qu'elle est invalidée par l'expérience (ce qui n'est pas spécifiquement prouvé), le grand mérite du travail de R.L. Vallée consiste dans démontage de l'erreur pernicieuse introduite en Physique par la Relativité et la mise en cause flagrante de l'hypothèse de la vitesse de la lumière constante universelle.

Sans prétendre à la vérité absolue, R.L. Vallée montre simplement comment la physique se méprend en ignorant la définition de milieux d'espace et comment elle passe à côté de cette formidable densité d'énergie d'espace qui nous environne vraisemblablement.