La stabilité d'une particule, dont nous venons d'expliquer la nature ondulatoire, nécessite une interaction permanente de cette dernière avec l'espace. En effet, les phénomènes vibratoires piégés à l'intérieur de la particule exercent une pression électromagnétique sur les zones disruptives qui doivent être équilibrées par une pression extérieure, sous peine d'instabilité et d'éclatement de la particule.
Il existe des fréquences, pour lesquelles les noyaux des particules sont stables. Elles correspondent à des fréquences pour lesquelles la résonance vibratoire peut s'établir - seule manifestation stable et localisée connue pour un phénomène ondulatoire.
Du fait de l'équilibre des pressions de " peau ", la particule en constante interaction avec son environnement échange de l'énergie avec l'espace. Cette énergie présente nécessairement une forme radiante dont la densité d'énergie est inversement proportionnelle à son angle solide, et décroît donc suivant une formule en 1/4πr2 .
Le modèle microscopique synergétique explique pourquoi les forces de gravitation sont en un 1/r2 , du fait des pressions radiantes d'énergie d'espace qui entourent les particules.
La première hypothèse permet d'expliquer la stabilité ou l'instabilité des particules élémentaires. Seuls l'électron, le proton et le neutron sont des particules élémentaires stables, car ces particules vibrent en résonance avec une fréquence d'espace particulière qui leur confère la stabilité. Les autres phénomènes particulaires, observés en nombre dans les chambres à bulles, correspondent à des phénomènes ondulatoires momentanément stables qui ne résistent que peu de temps aux aléas du milieu électromagnétique.
. Voici donc pourquoi les physiciens répertorient en nombre infini des particules qu'ils essaient de classifier dans leur fameux modèle standard.
La seconde hypothèse fait état de la décroissance relative de la densité d'énergie d'espace autour de la particule matérielle. Or, conformément aux lois du milieu énergétique, la variation de densité provoque l'apparition d'une force d'attraction dirigée vers la particule.
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